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Obésité

L'obésité, c'est dans la tête...

16/02/2009
Comment perdre quelques kilos et ne pas les reprendre (extraits)
Docteur Gérard Apfeldorfer, médecin psychiatre
"...Je vous propose tout d’abord d’identifier plusieurs situations, parmi les plus fréquentes, pour lesquelles les conseils que l’on peut prodiguer ne sont pas forcément les mêmes. Limités dans mon propos, je ne ferai qu’effleurer le cas des personnes pour qui maigrir est une nécessité médicale impérieuse, une affaire de vie ou de mort, et je me centrerai sur les personnes ayant une obésité modérée, ou bien un simple surpoids, ou encore celles qui, bien que se trouvant trop grosses, ne le sont pas selon des critères médicaux.
MAIGRIR, TOUT SIMPLEMENT
Et tout d’abord, je vous propose de faire un test qui permettra de déterminer le niveau de vos difficultés. Vous vous trouvez trop gros(se) et désirez perdre du poids ? Fort bien. Passez à la pratique sans plus attendre et, sans faire de régime, en mangeant les mêmes choses que d’habitude, sans vous obnubiler sur des règles diététiques rigides, veillez à manger juste les quantités nécessaires.
>>Lire la suite... "Maigrir tout simplement"



PROGRAMME NATIONAL NUTRITIONS-SANTE 2 30/12/2007 L"objectif général du PNNS 2 est d"améliorer l"état de santé de l ensemble de la population en agissant sur la nutrition. 9 objectifs prioritaires : 1- Augmenter la consommation d...

 

L'OBESITE FAVORISE LE CANCER 20 février 2008 On sait que le surpoids et l'obésité peuvent entra ner de nombreux problèmes de santé : troubles articulaires, cardiovasculaires... Mais les kilos en trop seraient aussi à l'origine...

 

LES SENIORS AMERICAINS ET L'OBESITE Une étude américaine montre que l"explosion de l"obésité aux USA, surtout chez les jeunes, pourrait réduire leur espérance de vie en augmentant les risques de survenue de maladies cardio-vasculaire...

 

ALIMENTATION ET ACTIVITE PHYSIQUE 31/12/2007 Dans l'Europe d'aujourd'hui, six des sept principaux facteurs de risque de mort prématurée (pression sanguine, cholestérol, indice de masse corporelle, consommation insuffisante de fruit...

 




Bien manger pour mieux vieillir

Lancement de l’étude SU.VI.MAX 2: Comment l’alimentation influence-t-elle le vieillissement ?
Conduit sur 7 000 personnes, le second volet de l’étude SU.VI.MAX permettra de répondre à cette question et de conseiller au mieux les seniors soucieux de leur alimentation et de la qualité de leur vieillissement.
Les vitamines et minéraux antioxydants, à doses nutritionnelles, tels qu’apportés par les fruits et légumes sont susceptibles de réduire le risque de cancer.
Telle était l’une des principales conclusions de l’étude SU.VI.MAX lancée voilà treize ans. Conduite sur 13 000 personnes, dont la moitié avait reçu une supplémentation vitaminique et minérale pendant huit ans, l’enquête avait montré que les hommes ayant reçu des antioxydants, à des doses nutritionnelles, voyaient leur risque de développer un cancer diminué de 31 %.

La mortalité globale dans ce groupe de personnes avait également chuté de 37 %.
Riche de ces enseignements, le groupe de chercheurs dirigé par Serge Hercberg, directeur de l’unité Inserm 557 « Epidémiologie nutritionnelle », a voulu poursuivre l’expérience. Il y a un an, 7 000 des volontaires de la première étude ont été rappelés afin de lancer SU.VI.MAX 2.
L’objectif est désormais d’identifier, puis de comprendre, les liaisons étroites entre l’alimentation et la qualité du vieillissement.

Agés de 55 à 72 ans, ces hommes et ces femmes sont déjà bien connus de l’équipe. Habitudes alimentaires, activité physique, état de santé, consommation de tabac et d’alcool, résultats de nombreux examens cliniques et biologiques…, tout a été noté et archivé durant huit ans, au cours de la première étude achevée en 2003.

Cette précieuse base de données sera bientôt enrichie.
Depuis février dernier, les 7 000 volontaires ont été convoqués dans 72 centres hospitaliers qui ont accepté de participer à l’étude.
Au bilan de santé complet (clinique, nutritionnel, neurologique…) s’ajoutera, pour chacun, le recueil de données sur ses habitudes alimentaires, via les réponses à un questionnaire détaillé.
D’autres questionnaires permettront aussi de récolter des informations sur déterminants de l’état de santé. Le bilan de santé sera, quant à lui, réalisé tous les quatre ans.
L’analyse de l’ensemble de ces informations devrait permettre d’évaluer régulièrement la qualité globale du vieillissement de ces personnes.
Les chercheurs prévoient aussi de mettre au point un indicateur global du vieillissement, qui tiendra compte de chaque composante étudiée.

Enfin, ils espèrent pouvoir dégager de leur étude quelques grandes recommandations pour « mieux vieillir ». L’équipe promet une première série de résultats dès l’année prochaine.
Source: La Lettre Inserm des Médecins généralistes
Février 2008



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